- Institut de la Francophonie pour l'Informatique (IFI). - 2.3 Gestion de la confiance dans le modèle Iceberg. - 5.1.La réalisation un arbre des topiques dans le Webographe. - Figure 1: Des offres disponibles actuellement dans le marché des outils collaboratif. - Figure 5: Une taxonomie personnelle dans le Web Of People. - Figure 13: L’extension dans le Firefox 1.5 pour marquer les pages dans une PKB ...31. - Figure 17: Gestion des vues et des contacts dans le Webographe. - Il n’en est pas de même dans des communautés ouvertes de pratique où chacun ne connaît qu’un sous-ensemble des autres. - Elle ne situe leur coopération ni dans l’écriture à plusieurs mains des mêmes pages, comme dans le cas des "wikis", ni dans l’acceptation de «workflows» éditoriaux. - Elle admet l’autonomie et la responsabilité totale des écrivains, comme dans le cas des blogs. - Dans ce rapport, je vais présenter un modèle de diffusion contrôlée pour que, dans un réseau de pairs autonomes, chacun contrôle librement ce qu’il veut dévoiler aux autres, ce qui lui permet d’assurer librement les risques et les profits d’une communication à confiance variable.. - De plus le logiciel libre Mozilla Firefox a été choisi comme base de développement parce qu’il est facile de lui ajouter les extensions nécessaires.. - Premièrement, nous présentons l'état de l'art de la technologie de collaboration et du blog sémantique. - Dés lors que la structure des informations n'a pas de raison de changer dans le temps, il y a des bénéfices à la saisir de façon structurée dans la mesure ou cela permet une plus grande cohérence et facilite la création de rapports et de vues alternatives. - Lieu de communication et d'échange des informations, Internet peut faire la connexion entre des personnes partout dans le monde. - Donc, on a toujours les messages publicitaire dans le blog. - Son utilisation correspond donc parfaitement à une petite communauté qui souhaiterait se rassembler autour d’un outil commun de public et de syndication.. - Un petit défaut serait les menus très profond dans le mode administrateur.. - Nucleus est l’un des outils de blogging le plus connu. - Il dispose d’un grand nombre de plugins dont certains exclusifs (la syndication de bookmarks XBEL par exemple), mais il impose trop souvent de se plonger dans ses entrailles. - · il permet de ne gérer qu’il seul blog. - WordPress est l’un des plus anciens moteur de blog. - (Par exemple News et Blogs dans le Thunderbird, NewsFeeds..). - Les principaux avantages de la syndication de contenus sont suivants:. - Contenu d’un flux de syndication. - Dans le WordPress, on utilise des mots. - La catégorisation permet à des posts de contenu semblable d'être groupés, facilitant de naviguer, d' utiliser et de gérer des contenus dans le blog.. - Enfin, un mécanisme de notification et disponible pour permettre des échanges actifs dans le Web of People.. - Cette pratique de recommandation active constituera une véritable méthode de filtrage collaboratif pour l'accès à l'information dans le Web Of People.. - Il a une schéma commun de description RDF pour les présentations et les échanges de connaissances sur lequel nous pouvons assurer l'interopérabilité pour tout échange, s'adapter à la nature distribuée de connaissances dans un réseau P2P et faciliter l'intégration du système avec d'autres dans le cadre des applications du Web sémantique.. - Dans le Web Of People, chacun a un weblog avec des posts indexés sous des thèmes d’intérêt appelés «topics». - Ces deux dernières caractéristiques ne sont généralement offertes dans le web que par des sites construits comme des portails et adossés à des bases de données sachant gérer les droits d'accès et les vues dynamiques.. - Chaque pair est propriétaire d’un domaine personnel de contenus dont il est l’unique auteur.. - L’ontologie personnelle d’un pair peut être un graphe complexe. - Nous dirons que des billets sont « attachés » à un « topique » quand ils sont classés dans le dossier étiqueté par ce « topique. - Le qualificatif « entre amis » n’est souvent que la simple traduction de l’appartenance à la communauté virtuelle des utilisateurs d’un même serveur, dans laquelle la visibilité reste totale et les recommandations tous azimuts. - Elle ne situe leur coopération ni dans l’écriture à plusieurs mains des mêmes pages, comme dans le cas des "wikis", ni dans l’acceptation de « workflows » éditoriaux. - l’autonomie et la responsabilité totale des écrivains, comme dans le cas des blogs.. - Chaque écrivain se dévoile à ses lecteurs uniquement par la partie de son site HTTP qu’il leur rend visible avec édition automatique de "fils". - pour les lecteurs qu’il invitera et des groupes ayant visibilité à différents niveaux de confiance dans ces différentes branches thématiques (un lecteur pourra être invité dans plusieurs groupes) 4. - c) ”répondre” à un objet externe qu'il a lu chez un pair en en créant un nouveau dans sa propre mémoire.. - de la partie invisible. - Pour qu’un pair « existe » dans le réseau il faut que sa racine soit visible de tous, c’est à dire publique, pour que l’existence de l’arbre ne puisse être cachée. - avec une « discretionary policy » de type « hiérarchie d’objets » dans laquelle la visibilité d’un objet entraîne la visibilité de tous ses ancêtres. - coupes) que de groupes de lecteurs qu’il prévoit d’avoir. - Chaque fois qu’un pair a un nouveau contact de lecteur, il doit se demander à quels groupes l’affecter. - Il se peut que ce nouveau lecteur nécessite la création d’un nouveau groupe. - Dans cette partie, on va parler du réseau de blog sémantique personnalisé dans le contexte d'un réseau de pairs autonomes, tour à tour écrivains et lecteurs, contrôlant librement leur communication dans un schéma [SujetObjetAction] décentralisé dans un Système Coopératif de Partage de Connaissances [KSCS. - Comme on l'a présenté, dans le cadre des communautés ouvertes sur le World Wide Web, un standard d'échange en pleine expansion est le RSS. - On s'intéresse aussi dans le projet KSCS aux processus, à la fois humains et techniques, de partage des connaissances, d’une part dans les entreprises investissant sur les outils de Knowledge Management et, d’autre part, dans les communautés virtuelles réunies autour du Web sémantique . - D’abord, il s’agit d’un système de connaissances réparties, c’est à dire, chaque personne, dans le réseau distribué P2P, possède une base autonome pour stocker sa mémoire sémantique personnelle – connaissances dans un espace privé - appelée "Personal Knowledge Base". - Deuxièmement, dans le Webographe, on veut restreindre le partage des connaissances entre des personnes de confiance. - Ensuite, le Webographe doit être facile pour les utilisateurs parce qu’il doit avoir une liaison avec les applications existantes très connues comme le navigateur Firefox, Thunderbird. - Enfin, il peut s’adapter avec le Web 2.0 qui est la promesse d’un nouveau web, d’une révolution comme d’une nouvelle version de l’Internet. - Un certain nombre de solutions multi plates-formes a été développé dans le passé. - Dans le premier cas, le programme fonctionne de façon autonome sur l'ordinateur d'où il est lancez.. - Dans le cas des applications Web, on a une architecture client-serveur où l'interface utilisateur (UI, GUI) ne fonctionne que sur le client (ordinateur de l'utilisateur) tandis que les données sont traitées du côté. - Nous dirons qu’un topique personnel « inclut » un topique d’un autre pair si ce topique externe est considéré par le créateur du topique personnel comme un sous-topique intéressant (et ses billets comme des billets à « bookmarquer. - Cette opération d’inclusion revient à l’« agrégation » d’un contenu « syndiqué. - Nous dirons qu’un billet personnel « répond » à un billet externe s’il y fait référence pour le commenter ou « y répondre ».. - Dans la figure suivante, on va voir l’architecture générale du Webographe pour chaque pair dans le réseau des pairs autonomes.. - Un Webographe n’a qu’un écrivain ou le propriétaire de la PKB ouverte en lecture à de multiples lecteurs (appelé «Webographiste«. - Cela veut dire qu’il va demander à chaque lecteur de se loger dans le portail et selon le choix du webographiste, il affichera l’union des vues (schéma externe dynamique) correspondante aux groupes auxquels le webographiste a été affecté.. - Les topiques se présentent sous une forme d’un arbre. - Pour le bookmark, on a crée une extension dans le Firefox 1.5. - Figure 13: L’extension dans le Firefox 1.5 pour marquer les pages dans une PKB. - – Pour les messages, on va créer une autre extension qui sera intégrée dans le Thunderbird pour enregistrer tous les courriels comme un type des billets et les stocker dans la base de connaissances personnelle.. - Cette fonctionnalité permet l'auteur de la PKB de gérer tous les liens dans un réseau multi-PKB. - Donc, la vue d’un lecteur pour une PKB est un ensemble de vues correspondantes aux groupes qu’il appartient.. - Les fonctions de la gestion sont. - Fonctionnements principales de la gestion. - Deplacer/Supprimer les utilisateurs dans un groupe - Modifier les informations d’un utilisateur dans ce groupe.. - Chercher les informations d’un utilisateur - Envoyer des notifications. - En conclusion, ce rapport présente un modèle pour que, dans un réseau de pairs autonomes, chacun contrôle librement ce qu’il veut dévoiler aux autres, ce qui lui permet d’assurer librement les risques et les profits d’une communication à confiance variable. - Il présente aussi l’implémentation d’un prototype de validation fonctionnelle de notre modèle. - Avec ce prototype un pair ne peut naviguer dans une PKB d’un autre pair qu’après s’être identifié comme lecteur ce qui lui construit dynamiquement la vue des seuls topiques que ce pair lui offre. - Au cours de sa navigation il peut décider d’inclure dans sa propre PKB un topique externe visible en l’agrégeant par son fil RSS/XML à l’un de ses propres topiques, selon son choix. - peuvent être appliquées dans le seul cadre de notre modèle (“pur HTTP”).. - Dans le Webographe, on a besoin un arbre des données hiérarchies pour représenter tous les topiques dans ma base de données MySQL5 ou les topiques correspondantes à une vue pour un groupe des lecteurs. - <?xml version="1.0"?>. - <em:targetApplication>. - <em:id>{3550f703-e582-4d05-9a08-453d09bdfdc6}</em:id>. - <em:minVersion>1.0</em:minVersion>. - <em:maxVersion>1.5+</em:maxVersion>. - </em:targetApplication>. - <em:id>{3f4c61f1-5c8b-438f-b310-d5a76d70eec9}</em:id>. - <em:name>Get Mail</em:name>. - <em:version>1.0</em:version>. - <em:creator>Ngay Moi </em:creator>. - <em:contributor>Ngay Moi</em:contributor>. - <em:homepageURL>http://extensions.geckozone.org/</em:homepageURL>. - <em:updateURL>http://extensions.geckozone.org/updates/Getmail.rdf</em:updat eURL>. - <em:optionsURL></em:optionsURL>. - <em:aboutURL></em:aboutURL>. - <em:file>. - <em:package>content/getmail/</em:package>. - <em:locale>locale/en-US/getmail/</em:locale>. - <em:locale>locale/fr-FR/getmail/</em:locale>. - <em:skin>skin/classic/getmail/</em:skin>. - </em:file>